Séjour Nordique à Nevache en 2010

Ce ne sont pas moins de 48 personnes qui se retrouvèrent à Névache, petite localité près de Briançon. Un nombre en forte augmentation liée en partie à la réputation de ce site bien connu des randonneurs. Et elles n’ont pas été déçues tant l’enneigement et l’ensoleillement furent remarquables, même les températures franchement négatives du matin n’ont rebuté personne.

Une semaine de ski dans des conditions quasi-idéales avec une glisse très efficace nous a permis de découvrir l’ensemble du domaine : les deux rives de la Clarée, le col de l’Echelle, et la montée de la Haute- Vallée jusqu’à Fontcouverte (un regret toutefois de ne pas avoir atteint Laval car nous n’avions pas prévu de pique-nique). Le jeudi, nous avons longé la Clarée jusqu’aux Alberts et un car nous a ramené le soir à l’hôtel .La veille, nous avions quitté cette vallée pour skier à Cervières au pied de l’Izoard.
Au final, une semaine épatante pour les skieurs.

Une semaine de raquettes dans la vallée de la Clarée.
Était-ce le souhait de manger Une soupe aux herbes sauvages, selon la recette d’Émilie Carles ? Toujours est-il que le groupe des marcheurs de ce séjour était important.
Nous avons bénéficié de conditions météorologiques particulièrement favorables : quelques minuscules flocons le dimanche matin, un ciel voilé le mercredi après-midi et, pour le reste, du beau temps, certes un peu frais le matin (-12° à -15°), mais nous étions en montagne !
Le dimanche, deux petites demi-journées nous ont permis une mise en jambes et un repérage dans un secteur nouveau. Ensuite, pique nique pour les quatre jours suivants. Enfin, le vendredi, organisation en demi-journées pour finir en douceur.
Un bon enneigement a permis de faire des sorties variée avec une moyenne journalière de quatre cent cinquante mètres de dénivelée positive. Le mercredi, à l’initiative de Jacques, le groupe s’est rendu à la station de Cervières. Les raquetteurs ont attaqué les pentes du col de l’Izoard, mais, faute de temps suffisant, et en raison de l’ennuagement progressif, ils se sont contentés (très contents cependant) des chalets de l’Izoard.